Stijn Van Damme expérimente depuis quelque temps eFact, la fonctionnalité eHealth incluse dans CareConnect Physiotherapist qui simplifie le processus de facturation. l en est très enthousiaste. Nous avons donc voulu en savoir plus.
Stijn Van Damme, de Kine Gent, est spécialisé en kinésithérapie du sport, thérapie manuelle, troubles de l’articulation temporo-mandibulaire et traitement des douleurs cervicales à l’origine de maux de tête. Dans son cabinet, il travaille en collaboration avec son collègue kinésithérapeute Robin Van Litsenborg.
« En décembre 2023, mon associé Robin et moi sommes passés à CareConnect Physiotherapist. C’est surtout la promesse d’un outil d’e-facturation qui nous a convaincus. »
« Ma femme est médecin généraliste. Son logiciel CareConnect utilisait eFact depuis un certain temps déjà, et j’en étais jaloux. Quand eFact est devenu disponible aussi dans le logiciel pour les kinésithérapeutes, je n’ai donc pas hésité une seconde. »
« Robin et moi sommes tous les deux conventionnés : environ 80 % de nos factures passent par la mutualité. Jusqu’à récemment, c’était lourd et chronophage. Mais depuis que nous testons eFact, la facturation est devenue beaucoup plus simple. Travailler avec cet outil est vraiment un rêve. Avant, nous devions attendre trois mois pour être payés. Maintenant, la mutualité verse chaque semaine. »
« Pour nos patients aussi, eFact est une bénédiction. Ils ne doivent plus avancer de grosses sommes. Le grand avantage d’eFact est qu’il sépare clairement le paiement du patient de celui de la mutualité. Les deux peuvent désormais être facturés indépendamment. Je peux donc facturer la mutualité chaque semaine, tandis que les patients ne me paient souvent qu’après une série de neuf séances. »
« Les patients ne paient plus que 6,25 € par séance ou 56,25 € après 9 séances. Ce montant raisonnable est réglé via Bancontact ou Wero. Heureusement, l’époque où ils devaient payer 300 € après 9 séances pour ensuite en récupérer 250 € est révolue. La demande de payer séance par séance est donc devenue rare, ce qui allège encore la charge administrative. »
Que reste-t-il comme administration ? « Peu de choses », sourit Stijn. « Chaque soir, j’enregistre tous les patients de l’outil de rendez-vous qui se sont effectivement présentés. Cela se fait en un clic par patient. Ensuite, chaque jeudi soir, je facture l’ensemble à la mutualité. »
« Ces tâches me prennent 10 minutes par jour et 5 minutes supplémentaires le jeudi. Il n’y a pratiquement pas d’autre administration. Une semaine plus tard, l’argent est déjà sur mon compte. C’était impensable auparavant. »
Le cabinet n’est toutefois pas encore totalement sans papier :
« La prescription papier n’a pas encore disparu. Le patient l’apporte toujours. Nous la scannons avec notre smartphone, après quoi tout est numérisé dans le système. Je conserve encore ces prescriptions par la suite, mais en réalité, ce n’est plus nécessaire. »
Stijn a déjà énuméré de nombreux avantages d’eFact, mais il ajoute encore un atout potentiel surprenant : « Je pense, comme beaucoup de collègues, que les kinésithérapeutes conventionnés sont quelque peu sous-payés. Mais la fonctionnalité eFact pourrait peut-être nous permettre de gagner un peu plus à l’avenir. »
« Ces dernières années, les tarifs remboursés par la mutualité ont été indexés à plusieurs reprises », explique Stijn. « Mais la part payée par le patient est restée inchangée pendant tout ce temps. Cette participation personnelle est de 6,25 € par séance depuis des années. »
« Maintenant que les patients ne doivent plus préfinancer le coût total, on pourrait selon moi facilement augmenter ce montant, par exemple à 7 €, sans qu’ils le ressentent réellement dans leur portefeuille. Aujourd’hui, la kinésithérapie est très bon marché pour le patient. Une Duvel au café coûte presque autant. »
Stijn voit-il encore des points d’amélioration pour CareConnect Physiotherapist ? « Bien sûr. La communication entre le médecin et le kinésithérapeute pourrait être améliorée. Ma femme, qui est donc médecin généraliste, ne peut toujours pas m’envoyer de prescription numérique, alors qu’elle peut déjà le faire pour les pharmaciens. Une possibilité d’envoyer des messages à d’autres prestataires de soins via le logiciel serait également pratique. »
Enfin, Stijn revient sur la fin de l’année 2023, lorsqu’il a commencé à utiliser CareConnect Physiotherapist :
« Juste après le lancement, on sentait encore que l’outil provenait d’une application initialement développée pour les médecins généralistes. Les médecins parlent de “approche de soins”, tandis que les kinésithérapeutes parlent plus souvent de “pathologie”. Un médecin travaille à partir de sa to-do list, un kinésithérapeute à partir de son agenda. De plus, les médecins ont généralement besoin de beaucoup plus d’informations sur le patient que nous. »
« Mais aujourd’hui, CareConnect Physiotherapist est entièrement adapté au fonctionnement spécifique du kinésithérapeute, y compris le registre de langue approprié. La différence avec fin 2023 est clairement perceptible. Je trouve très agréable de voir à quel point le logiciel s’améliore continuellement. »