En tant que généraliste, vous avez accès à un grand nombre d'informations sur les patients. Vos patients vous racontent leur vie, mais vous avez également accès à des résultats de laboratoires et à d'autres données de santé. Toutes ces informations font partie des données personnelles des patients. Depuis 2018, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) définit ce que vous pouvez et ne pouvez pas en faire.
S'il a été annoncé en fanfare et accompagné de menaces de poursuites, le RGPD est en fait destiné à protéger tout le monde. Vos propres données sont elles aussi en sécurité grâce à ce règlement. Elles ne peuvent être ni partagées ni stockées sans votre consentement. Voyons cela plus en détail.
En quoi consistent les données personnelles ? Il s'agit de toutes les informations relatives à une personne physique identifiée ou identifiable. « Identifiable » signifie qu'une personne physique peut être directement ou indirectement identifiée grâce à :
Cela semble complexe, mais l'essentiel est que le RGPD garantit que tout ce que l'on sait sur un être humain qui porte un nom ne peut pas être simplement stocké et partagé sans le consentement de la personne. Les données que vous possédez vous permettent de remontrer à une personne spécifique ? Dans ce cas, elles ont un caractère personnel, même si, par exemple, vous travaillez avec un numéro de patient au lieu d'un nom.
Il existe un certain nombre de principes de base que vous devez respecter en tant que généraliste - ou processeur de données en général. Les plus importants sont la légalité, l'équité et la transparence. Sachez que :
Et si vous ne vous conformez pas aux règles du RGPD ? Dans ce cas, vous serez soumis à des mesures correctives et vous pourrez aussi vous voir infliger une amende. Il va sans dire que la raison majeure de se conformer au RGPD est de protéger les données personnelles.
Vous ne pouvez plus vous contenter de fermer une armoire dans laquelle se trouvent les dossiers de vos patients. La pandémie de coronavirus a accéléré la numérisation des cabinets médicaux et renforcé l'importance de la protection des données (en ligne).
Voyez ici comment mettre votre logiciel CareConnect entièrement en conformité avec le RGPD.
Pour mieux protéger les données personnelles, il y a des choses simples que vous pouvez faire. Certaines mesures sont il est vrai un peu plus complexes. Nos 10 conseils vous permettront de faire un grand pas dans la bonne direction :
Nous avons développé la plateforme Helena afin que vous puissiez communiquer en toute sécurité et partager des documents numériques avec les patients. Elle vous permet notamment de leur fournir la preuve d'une prescription électronique, des schémas de médication et des rapports de laboratoire. Via Helena, votre patient peut aussi commander en un clic les médicaments prescrits auprès de sa pharmacie.
Vous ne savez pas par où commencer ? Les logiciels médicaux tels que CareConnect General Practitioner suivent les évolutions de tout ce qui a trait au RGPD. Vous avez donc l'absolue certitude que les données personnelles de vos patients seront traitées correctement si vous les gérez dans CareConnect. Le logiciel se charge également du cryptage et de la cybersécurité.
Nous assurons la protection des données personnelles, afin que vous puissiez, en tant que médecin, vous occuper pleinement de la personne concernée. Sécurité et santé vont ainsi de pair.
CareConnect General Practitioner vous décharge d'une grande partie de votre travail.